Les principaux moyens de subsistance des communautés locales dans les zones les plus vulnérables au monde reposent essentiellement sur l’exploitation des ressources naturelles. Ces dernières sont un atout majeur pour le développement de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, des ressources forestières et du tourisme. La conjugaison de facteurs climatique et anthropique, a entraîné la dégradation du couvert végétal, du sol et des ressources en eau, compromettant ainsi la capacité des écosystèmes à répondre aux besoins des populations.
Les fonds climat mettent l’accent sur l’implication des communautés locales concernées dans les actions d’adaptation, d’atténuation et de stratégies de résilience à travers des guides et des plateformes pour la prise en compte des droits des communautés locales et des populations indigènes. En sa qualité d’entité accréditée auprès du FA et du GCF, l’OSS a organisé un évènement parallèle en vue de proposer des approches et des méthodologies pour une meilleure implication des populations locales dans la conception, la réalisation et l’exécution des activités d’adaptation et d’atténuation au changement climatique.
Ont participé au panel, les experts et expertes suivants.es : le représentant du Ministère de l’Environnement, Tunisie, Prof. Abdoulaye DIA, Secrétaire Exécutif, APGMV, Mauritanie, Mme Ndeye Fatou MAR, OSS, M. David KERKHOFF, Humana People To People et M. E. Mawusé HOUNTONDJI KODJO, ONG - JVE Bénin.