Nigeria

La Grande Muraille Verte, un programme de développement pour le Sahara et le Sahel : une approche de suivi-évaluation des projets à partir des applications géospatiales

L’Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) est une organisation intergouvernementale internationale créée en 1992 et basée à Tunis (Tunisie).

Il est spécialisé dans la surveillance environnementale et la gestion des ressources naturelles. L’organisation travaille dans la région sahélo-saharienne du continent africain.

Les principaux thèmes traités sont liés aux défis auxquels fait face cette région vulnérable : dégradation des terres, désertification, sécheresse et impacts du changement climatique sur les écosystèmes et les populations.

Sahel et Afrique de l’Ouest | Atlas des Cartes d’Occupation du Sol

Conçu comme un outil de planification et d’aide à la décision en appui à l’initiative de la grande muraille verte, cet atlas régional des cartes d’occupation des sols est destiné aux décideurs, aux partenaires de développement et au grand public. Il a été réalisé à partir de données satellitales de 30 mètres de résolution et couvre les 12 pays du programme Sahel et Afrique de l’Ouest  (bénin, Burkina Faso, Ethiopie, Ghana, Mali, Mauritanie, Niger,  Nigeria, Sénégal, Soudan, Tchad et Togo).

GICRESAIT | Atlas des ressources en eau

Cet atlas est destiné aux décideurs, aux partenaires de développement et au grand public. A travers une quarantaine de cartes, graphiques et photographies issus de l'étude régionale du grand bassin aquifère transfrontalier d'Iullemeden, Taoudéni-Tanezrouft menée par l'OSS, il a pour vocation d'informer sur la disponibilité et l'usage des ressources en eau dans cette région qui concerne sept pays (Algérie, Bénin, Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Nigeria). 

Système Aquifère d'Iullemeden : Cadre de Concertation pour la gestion du risque transfrontalier

L'analyse diagnostique transfrontalière préconisée par le Fonds pour l’environnement mondial a été appliquée aux Eaux transfrontalières du Système aquifère d’Iullemeden (SAI) partagé par le Mali, le Niger et le Nigeria. Elle a permis d’identifier trois risques majeurs transfrontaliers à savoir la diminution de la disponibilité de la ressource, (2) la dégradation de la qualité des eaux, et (3) les impacts de la variabilité/changements climatiques.

Système aquifère d'Iullemeden (Mali, Niger, Nigeria) : gestion concertée des ressources en eau partagées d'un aquifère transfrontalier sahélien

Le système aquifère d’Iullemeden, partagé par le Mali, le Niger et le Nigeria, désigne, dans le cadre de la présente étude, un ensemble de dépôts sédimentaires renfermant deux grands aquifères : le Continental Intercalaire (CI) à la base, et le Continental Terminal (CT) au sommet. Les ressources en eau du SAI sont considérables mais peu renouvelables. Au cours des trente dernières années, les prélèvements sont passés de 50 millions de m3 en 1970 à 180 millions de m3 en 2004 sous la pression démographique croissante (20 millions d’habitants en 2000, le double en 2025).

Système Aquifère d'Iullemeden : Base de données commune. Tome II

La mise en place de la Base de données (BD) du SAI a permis de rassembler et de rendre homogène l’ensemble des informations disponibles à ce jour sur ce bassin dans une structure relationnelle cohérente. Sans une telle architecture ouverte, il aurait été difficile d’imaginer que se réalisent tous les traitements, requêtes et cartes thématiques que ce projet a pu produire.

Système Aquifère d'Iullemeden : Modèle hydrogéologique. Tome III

L’activité de modélisation hydrogéologique entreprise dans le cadre du projet « Gestion des risques hydrogéologiques du système aquifère d’Iullemeden, (SAI)» fait partie de l’activité Analyse diagnostique transfrontière (ADT). Son objectif est de mieux évaluer les ressources en eau de ce système aquifère et d’identifier les risques hydrogéologiques auxquels est associé son développement.

Système Aquifère d'Iullemeden : Éléments de politique pour la réduction des risques transfrontaliers

L’analyse diagnostique transfrontalière, préconisée par le Fonds pour l’environnement mondial, appliquée aux eaux souterraines du Système aquifère d’Iullemeden (Mali, Niger, Nigeria) a permis d’identifier trois risques majeurs transfrontaliers : la diminution de la disponibilité de la ressource, la dégradation de la qualité des eaux, et les impacts de la variabilité/changements climatiques.