Démarrage jeudi 11 février de la deuxième session de la visite d’étude virtuelle sur le thème de la gestion de la pénurie des ressources en eau « Solutions locales en Espagne, combinaison de ressources pour satisfaire la demande des populations et la gestion intégrée de l’assainissement et de la réutilisation dans la région de Murcie », organisée par l’Observatoire du Sahara et du Sahel, la GIZ et l’Unité Technique du SEMIDE.
La session qui a comporté des présentations relatives aux transferts et dessalement d’eau ainsi que la réutilisation des eaux usées traitées a été suivie par 39 participants des trois pays (Maroc, Algérie et la Tunisie), Canal Taibilla, ESAMUR (comme organismes intervenants), l’OSS et la GIZ.
L’allocution d’ouverture a été assurée par Monsieur Éric Mino, Coordinateur et Gérant de SEMIDE.
Cette visite d’étude virtuelle avait pour objectif de permettre aux participants des trois pays partenaires du projet CREM de s’informer et d’échanger sur les pratiques et expériences d’un pays voisin avancé dans la gestion de la rareté des ressources en eau aussi bien du point de vue des connaissances que des pratiques et recherches. Il s’agit également de sensibiliser les participants aux inconvénients de certaines pratiques testées et évaluées dans le pays en question.
Les autres sessions se dérouleront comme suit :
- Session 3 : France : Enjeux du changement climatique sur la disponibilité des ressources en eau : planification et solutions locales en agriculture. 18 février 2021,
- Session 4 : SF2 - France : Optimiser l’usage de l’eau en agriculture : réutilisation et autres techniques innovantes,
- Session 5 : SF3 - France : La REUT comme réponse possible aux pénuries d'eau ou comme mesure d'adaptation au changement climatique,
- Session 6 : SF4 - France : Maitrise des consommations en Province : Des infrastructures hydrauliques aux équipements et pratiques agricoles.
Pour rappel, la première session sur « la stratégie nationale de la gestion de la pénurie d’eau en Espagne » a eu lieu le 4 février 2020, et a été suivie en ligne par les pays (Maroc, Algérie et Tunisie), la GIZ, l'OSS, la direction générale de l’eau d’Espagne et ACUAMED.